« Les aciéristes européens doivent réagir, met en garde Moll qui avance trois solutions. D’ici à 2015, ils pourraient procéder à une consolidation, ramenant leurs capacités de 8,3 à 5,7 Mt. Ce qui permettrait à leurs capacités d’utilisation de dépasser les 80%. Une autre voie est d’investir dans l’amont, ce qui pourrait réduire la volatilité des prix des alliages. Le coréen Posco, le numéro un de l’acier inoxydable, possède ainsi sa propre usine de ferronickel alimentée par un partenariat avec la SMSP en Nouvelle-Calédonie ».